Apport calorique du potiron
100 g de courge
C’est léger comme tout, avec seulement 20 petites calories. Pas de quoi casser trois pattes à un canard ! Côté protéines, on est sur du minimaliste : moins d’un gramme. Pour les glucides, ça grimpe un chouïa avec un petit peu plus de quatre grammes. Quant aux lipides, c’est quasiment l’oubliette : un maigre 0,1 gramme. Autant dire que ça ne va pas alourdir la barque !
Teneur calorique du potiron
Au sein de la grande famille des cucurbitacées, le potiron se distingue. Ce légume à la silhouette reconnaissable, avec sa forme ronde et ses côtes marquées qui s’aplatissent au sommet, n’est autre qu’un proche parent de la citrouille dont il diffère par son apparence moins sphérique.
Côté saveurs, l’avantage penche en faveur du potiron : une douceur accentuée caractérise sa chair, qui présente également l’atout d’être peu filandreuse. On lui prête volontiers une place plus élevée dans le palais des fines bouches.
En parlant de ligne justement, notre potiron joue les alliés minceur avec seulement 20 kcal aux cent grammes. Il doit ce faible apport calorique à son importante teneur en eau, figurez-vous qu’il est gorgé à 95 % ! Cela fait de lui un champion pour rassasier sans alourdir grâce à cette combinaison idéale d’eau et de fibres.
Bref, que ce soit pour régaler vos papilles ou garder la taille fine, miser sur le potiron semble être un choix judicieux.
Sélection et conservation du potiron
Pour dégoter le meilleur potiron, privilégiez la période automnale qui s’étend jusqu’aux frimas de janvier. Lorsque vous flânez au marché, penchez-vous sur les cucurbitacées affichant leur tige attachée ; cela témoigne d’un légume bien préservé. Son écorce doit également arborer une teinte homogène et plutôt mate, signe indubitable qu’il a été cueilli à point. Une fermeture résistante sous vos doigts sera gage d’une belle qualité.
Si vous optez pour des morceaux déjà préparés, jetez un œil critique sur la consistance du fruit : fuyez les textures molles ou glissantes qui hurlent l’avancée de l’altération.
Quant à sa garde, le potiron entier se montre patient et peut attendre sagement chez vous plusieurs mois si on lui évite l’éventration. À contrario, une fois tranché, il ne faut pas lambiner : sa fraîcheur est éphémère et réclame une dégustation prompte.
Préparation du potiron en cuisine
Une fois pelé et épépiné, le potiron se prête à une multitude de préparations. Taillez-le en dés avant de le plonger dans l’eau frémissante ou bien choisissez la douceur de la cuisson à la vapeur. Ces morceaux fondants sont parfaits pour être dégustés nature ou transformés en onctueuse purée et veloutés réconfortants.
Ne jetez pas les graines ! Faites-les dorer avec un filet d’huile d’olive pour un snack croustillant. Ainsi, rien ne se perd du potiron : il régale de l’intérieur jusqu’à l’extérieur !
Utiliser le potiron dans un régime alimentaire
Si vous visez la ligne, le potiron se révèle être un atout de choix. Gorgé d’eau et pourvu en fibres, il procure une sensation de satiété durable tout en affichant un faible apport calorique. Prenez garde cependant à l’envie trompeuse d’ajouter des graisses sous couvert de sa légèreté calorique. Oubliez les préparations qui font la part belle à la crème ou au beurre et laissez-vous tenter par les saveurs relevées des épices. Vous découvrirez qu’on peut aisément renoncer aux lipides superflus, et votre silhouette s’en portera que mieux.
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