100 grammes de feuilleté garni
Apportant une énergie de 320 Kcal, cette option alimentaire s’avère être un véritable concentré d’énergie. Avec ses 6g de protéines, elle est parfaite pour entretenir les muscles. Côté sucre, pas d’excès, juste ce qu’il faut : 31g de glucides. Et pour ce qui est des matières grasses, elles sont présentes en quantité modérée avec 19g de lipides. Un bel équilibre pour ceux qui font attention à leur ligne!
Apport calorique du mille-feuille
Le mille-feuille, célèbre pour sa structure en étages, s’articule autour de fines strates croustillantes et dorées. Au cœur, une crème onctueuse vient marier les saveurs tout en douceur. Comme touche finale, un voile de sucre neigeux se pare d’éclats sombres pour ravir autant les yeux que le palais.
Cependant, cette gourmandise cache sous ses airs délicats une richesse calorique notable. En effet, il faut compter sur une densité énergétique conséquente avec plus de 300 kcal aux cent grammes. Sa composition révèle un apport en sucres majoritairement issus du glaçage ainsi que des matières grasses provenant essentiellement du beurre utilisé dans la pâte feuilletée.
Savourer un mille-feuille est donc à apprécier avec parcimonie pour qui surveille sa ligne ou son apport nutritionnel. C’est un plaisir raffiné qui allie l’art pâtissier à la tentation sucrée, mais qui nécessite une certaine modération dans sa consommation.
D’où vient le nom « mille-feuille » ?
Le mille-feuille, célèbre gâteau aux multiples strates, tient son appellation des innombrables feuillets qui composent sa pâte délicate. Contrairement à une interprétation hâtive de sa structure apparente révélant moins d’une dizaine de niveaux, le processus classique de fabrication donne naissance à une multitude de fines couches superposées. D’ailleurs, les techniques modernes ont permis d’amplifier ce chiffre prodigieux.
À l’international, cette douceur est parfois baptisée « Napoléon« , non pas en hommage au conquérant français mais plutôt en évoquant ses origines italiennes et l’adjectif « napolitain ». Cependant, les conflits belliqueux associés au dirigeant impérial ont fini par influencer la terminologie utilisée pour désigner cette pâtisserie aussi riche en histoire qu’en saveur.
Le mille-feuille, un dessert élaboré
Réaliser un mille-feuille est un véritable art qui s’apprend et se peaufine avec le temps et la pratique. Cette gourmandise repose sur l’assemblage harmonieux de plusieurs éléments clés, chacun requérant une technique spécifique.
La base, c’est une pâte feuilletée légère comme l’air, fruit d’un pétrissage maîtrisé et d’un pliage précis. Quant à elle, la crème pâtissière doit être onctueuse à souhait ; un équilibre parfait des saveurs et textures est impératif pour éviter qu’elle ne sombre dans une consistance trop flottante.
Pour couronner le tout, un glacis lumineux vient caresser la surface de cette oeuvre comestible. Il faut agir avec promptitude et finesse pour créer cet effet miroitant qui invite irrésistiblement au croc gourmand.
Il va sans dire que préparer ce dessert n’est pas chose aisée du premier coup. L’exercice demande patience et détermination avant de pouvoir en savourer pleinement les réussites.
Mille-feuille compatible avec un régime alimentaire
Dans l’univers de la gourmandise, certaines créations sucrées s’avèrent peu compatibles avec les lignes directrices d’un régime alimentaire strict. Parmi ces tentations, le mille-feuille se distingue par sa richesse en sucres rapides et en lipides saturés, dont l’effet sur la silhouette est loin d’être anodin. En période de diète, il convient donc de lever le pied sur ce type de dessert.
Toutefois, nul besoin de renoncer à toute forme de plaisir pâtissier. Les alternatives à base fruitée offrent un compromis intéressant : elles comblent les envies sucrées tout en ménageant l’apport calorique. Ainsi peut-on s’accorder une pause douceur sans culpabilité ni impact défavorable sur notre objectif minceur.
Sommaire