Apport calorique d’un Maki au saumon
100g de Maki au saumon
Une petite douceur qui pèse légèrement sur la balance avec ses 159 Kcal. Elle tient dans le creux de la main et apporte une bonne dose d’énergie grâce à ses 27g de glucides, parfait pour tenir le coup jusqu’au prochain repas. Et vous savez quoi ? Elle n’est pas avare en protéines, avec 7g, c’est un petit coup de pouce pour vos muscles. Sans oublier les lipides, seulement 2,8g, juste ce qu’il faut pour ne pas alourdir votre conscience.
Nombre de calories contenues dans un Maki au saumon
Issu de la gastronomie nippone, le maki saumon se distingue par son harmonie visuelle et gustative. Enveloppé dans une feuille d’algue nori, ce petit cylindre marie avec finesse le riz vinaigré à l’onctuosité du saumon cru niché en son cœur.
Sur le plan nutritionnel, ce mets offre un profil modeste en protéines : seulement 7 grammes pour une portion de 100 grammes. Cette teneur s’explique par la quantité relativement réduite de poisson incorporée. Les sucres complexes issus du riz constituent l’essentiel des apports énergétiques, tandis que les matières grasses restent surprenamment basses pour un produit marin réputé pour sa richesse en omégas. La modération lipidique découle aussi ici de la parcimonie avec laquelle est utilisé le saumon.
Avec environ 159 kilocalories aux cent grammes, le maki au saumon incarne une option légère qui peut se glisser aisément dans un régime alimentaire équilibré tout en titillant les papilles des amateurs de saveurs océanes enveloppées d’exotisme.
Vous êtes-vous déjà demandé ?
Contrairement à une idée reçue, la préparation des makis ne s’effectue pas pièce par pièce. Ce procédé serait en effet trop laborieux. En pratique, on confectionne une longue bobine d’algues nori, emplie de riz et agrémentée soit de poissons crus, soit de légumes variés. Une fois cette étape réalisée, il suffit simplement de découper le rouleau en segments afin d’obtenir les bouchées désirées.
Il est amusant de noter que la naissance du maki trouve son origine chez les yakuzas, bien que cela ait été fortuit. Ces derniers, exaspérés par le riz collant à leurs doigts lorsqu’ils jouaient aux cartes, ont inspiré l’idée d’enrober le riz avec des feuilles d’algues pour remédier à ce désagrément. Ainsi est née cette méthode ingénieuse qui allait révolutionner la consommation du sushi traditionnel.
Le sushi au saumon est-il sain ?
Pour prévenir les risques liés à la consommation de sushi, notamment le maki, quelques mesures s’imposent. La congélation est une astuce efficace contre les parasites des produits de la mer crus. Quant à la question épineuse des polluants, privilégier des espèces moins grasses constitue un choix judicieux pour minimiser l’exposition. Le saumon et le thon, souvent utilisés dans ces plats nippons, sont en effet plus susceptibles d’accumuler ces substances nocives.
Il convient donc d’être vigilant quant à leur fréquence dans notre alimentation et d’opter occasionnellement pour des alternatives moins riches en lipides. Heureusement, les portions réduites de poisson présentes dans les makis atténuent quelque peu ce souci sanitaire.
Le saumon en maki, un choix pour la diète
Lorsqu’on évoque le maki au saumon dans une optique de régime, la prudence est de mise. Contrairement à une idée reçue, ce plat japonais peut se révéler trompeur côté ligne en raison du riz qu’il contient, et donc des glucides. À l’heure de passer commande dans un restaurant nippon, mieux vaut éviter les pièges :
– L’accompagnement d’un bol de riz avec des makis est superflu puisque ces derniers en comportent déjà.
Un choix judicieux serait plutôt d’opter pour une salade de chou afin d’intégrer des légumes à votre repas. En complément, privilégiez les sashimis qui offriront un supplément protéinique grâce au poisson cru servit sans riz. Cela vous permettra d’équilibrer votre assiette tout en savourant la richesse gastronomique japonaise sans faire fi de votre régime.
Sommaire