Apport calorique des cerises
100 g de cerises :
Ce produit offre une valeur énergétique assez basse, avec seulement 68 kilocalories. C’est surtout les glucides qui tiennent le haut du pavé dans cette histoire, ils représentent 14 grammes. Et pour ceux qui traquent les protéines, il y en a un p’tit gramme. Quant aux lipides, ils sont absents de la fête, leur compteur reste désespérément à zéro.
Apport calorique des cerises
Les cerises, petits joyaux écarlates, sont non seulement délicieuses mais aussi fort bénéfiques pour la santé. Gorgées d’eau à 80%, elles sont une mine de nutriments essentiels. En effet, une consommation modérée couvre un pan important des besoins quotidiens en vitamine C; un atout majeur pour notre système immunitaire.
Elles se distinguent également par leur teneur significative en carotène, connu pour ses effets antioxydants puissants. Toutefois, il est bon de noter que ces baies restent les plus riches en sucre parmi leurs pairs rouges : chaque 100 g apportant environ 65 à 68 kilocalories et pas moins de 15 g de glucides.
En somme, la cerise s’apprécie avec parcimonie dans un régime équilibré; elle offre une avalanche de bienfaits tout en suscitant la vigilance des amateurs soucieux de leur apport calorique.
Origines de la cerise
Les origines de la cerise en Europe sont plongées dans le mystère historique. Selon une thèse, ce serait l’armée romaine qui aurait ramené ce fruit juteux d’Asie Mineure, s’inspirant de la ville de Cerasus pour baptiser sa trouvaille. Une autre hypothèse crédite les Grecs d’avoir devancé les Romains dans cette introduction fruitière.
De nos jours, ce délice rougeâtre est solidement ancré dans l’agriculture française avec des bastions tels que la Provence et la région Rhône-Alpes. Le terroir français distingue deux variétés principales de cet arbre fruitier: les merisiers, pères des cerises sucrées telles que les célèbres bigarreaux; et les griottiers, qui offrent des fruits à la saveur plus relevée, parfaites pour rehausser liqueurs et conserves.
La culture du cerisier reflète ainsi une dualité entre douceur et acidité, où chaque variété trouve sa place tant sur le marché traditionnel qu’en gastronomie.
Sélection et préservation des cerises
Pour s’assurer de la qualité des cerises, privilégiez celles qui sont ferme au toucher et présentent une peau luisante sans être dépourvues de leur queue. Une fois chez vous, optez pour un rangement aéré soit dans un panier à fruits soit dans le compartiment à légumes du frigo. N’oubliez pas qu’elles se détériorent vite, après deux jours elles perdent de leur superbe.
Consommez-les promptement pour tirer avantage de leur fraîcheur ou alors choisissez la congélation, la mise en conserve ou encore l’incorporation dans vos recettes sucrées préférées afin d’éviter tout gaspillage. Rappelez-vous que c’est frais que les cerises révèlent au mieux leurs saveurs et bienfaits.
Les cerises et la diète
Si l’on se fie aux apparences, les cerises pourraient sembler contre-indiquées dans le cadre d’une alimentation contrôlée en raison de leur teneur en sucre. Néanmoins, consommées avec modération, elles ne constituent pas une menace pour la silhouette. Bien au contraire, ces petits bijoux pourpres sont des alliés minceur insoupçonnés. Leur richesse en eau et fibres contribue à un sentiment de satiété rapide et bénéficie au transit souvent perturbé lors d’une diète.
Pour optimiser leurs bienfaits digestifs, il est recommandé de mastiquer consciencieusement les cerises et de limiter sa consommation d’eau simultanément afin d’éviter les désagréments liés aux ballonnements. En somme, intégrer judicieusement ce fruit charmant à son menu peut s’avérer être une stratégie gourmande mais réfléchie pour maintenir son poids idéal.
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